2 avril 2013
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Pour les scolaires :
Pour les classes du primaire, « Le Journal d’Anne Franck » qui est au programme des CM2.
Pour les secondaires, « La vague » et « L’homme qui viendra »
Pour tous publics, en cette année du 70ème anniversaire de la libération de la Corse, la Résistance corse tient un place importante avec l'opportunité de la
sortie d'un documentaire, « Nom de code Léo », consacré à Léo Micheli qui était en 1943 le responsable du Front patriotique des jeunes. Ce film réalisé par Dominique Lanzalavi
pour FR3 et MARETERRANIU sera diffusé en avant-première en salle. Et pour clore nos RCH, le cinéma cèdera la place au théâtre avec une pièce à la gloire de Jean
Nicoli.
Pour la première fois dans le cadre de nos RCH sera projeté un film qui traite de la barbarie nippone en Asie qui a rivalisé d'horreur avec celle des nazis et fascistes d'Europe. Plus précisément le sujet porte sur « Le massacre de Nankin » qui fit vraisemblablement entre 200 000 et 300 000 morts. On peut s'imaginer la plaie ouverte dans les relations entre Chine et Japon, dès lors que même au plus haut niveau de l'Etat, les Nippons entretiennent le flou sur l’ampleur du crime et leur responsabilité. On se l'imagine d'autant plus facilement lorsqu'on sait le traumatisme consécutifs aux massacres à plus petite échelle (des centaines de personnes quand même, parmi les populations civiles) en France à Oradour-sur-Glane et en Italie à Marzabotto, près de Bologne, dont le film « L'homme qui viendra » décrit le massacre.
Sur un ton plus léger, avec "Un héros très discret", c'est d'une usurpation d'identité à laquelle se livre ce "héros" de la Résistance qui ne le fut pas.
De riches débats en perspectives !
Pour la première fois dans le cadre de nos RCH sera projeté un film qui traite de la barbarie nippone en Asie qui a rivalisé d'horreur avec celle des nazis et fascistes d'Europe. Plus précisément le sujet porte sur « Le massacre de Nankin » qui fit vraisemblablement entre 200 000 et 300 000 morts. On peut s'imaginer la plaie ouverte dans les relations entre Chine et Japon, dès lors que même au plus haut niveau de l'Etat, les Nippons entretiennent le flou sur l’ampleur du crime et leur responsabilité. On se l'imagine d'autant plus facilement lorsqu'on sait le traumatisme consécutifs aux massacres à plus petite échelle (des centaines de personnes quand même, parmi les populations civiles) en France à Oradour-sur-Glane et en Italie à Marzabotto, près de Bologne, dont le film « L'homme qui viendra » décrit le massacre.
Sur un ton plus léger, avec "Un héros très discret", c'est d'une usurpation d'identité à laquelle se livre ce "héros" de la Résistance qui ne le fut pas.
De riches débats en perspectives !